Parmi les mille et une manières de couper la traduction en deux, il y a celle qui consister à opposer ceux qui y voient un outil de communication ou le vecteur d'une émotion esthétique. Et ce n'est pas nouveau. Ceux qui s'intéressent au premier volet, avec en plus un zeste historique, pourront s'intéresser à cet ouvrage tout récent, dirigé par Patrice Bret et Jeanne Peiffer : La Traduction comme dispositif de communication dans l'Europe moderne, chez Hermann.

Vous en trouverez une présentation plus diserte, ainsi qu'un sommaire ici : http://koyre.ehess.fr/index.php?3313

Salutations historiques,

Nicolas Froeliger