Philippe Sollers (un connaisseur) en parlait il y a peu à la TSF. D'autres depuis ont fait de même sur différents supports, y compris contemporains. De même qu'une cathédrale est toujours perpétuellement à construire, les grandes oeuvres recèlent toujours une part d'inexploré, qu'il s'agit, précisément, d'inventorier, sous ses différentes dimensions. Shakespeare, donc, était-il (aussi) un pornographe ? Pour Jean-Pierre Richard, qui dirigea longtemps le master pro de traduction littéraire de l'Université Paris Diderot, la réponse, est un oui rabelaisien. Qu'on en juge, via cette adresse : https://www.presses.ens.fr/534-shakespeare-pornographe.html

Bonne journée à toutes et tous,
 
Nicolas Froeliger