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En traductologie aussi, il y a des milliers de manières de diviser le monde en deux catégories. Une autre d'entre elles sépare ceux qui pense que l'on traduit des textes, et ceux qui professent que l'on produit des documents (nous allons mettre charitablement de côté ceux qui imaginent qu'on traduit de la langue). C'est poser la question de la textualité en traduction. Eh bien, justement, j'ai sous les yeux le tout nouvel ouvrage dirigé par Nathalie Collé et Monica Latham, aux Etitions universitaires de Lorraine : Textuality and Translation, avec huit articles, dont trois en français, qui couvrent maintes facettes de ce sujet, de la littérarité à l'institutionnel, en passant par le rôle des mémoires (au féminin) de traduction et la question de l'homogénéisation, sans oublier le savoureux et multilingue Eddie Izzard. Bref, c'est bien !

Vous pouvez le sommaire et les détails, voire le bon de commande, à cette adresse : https://www.lcdpu.fr/livre/?GCOI=27000100961050

Salutations micro- et macrotextuelles,

Nicolas Froeliger